• Ces jours-ci, depuis mon retour au Japon, je suis trop économe. C'est à cause de mon séjour en Tunisie. Les prix au Japon me semblaient trop déraisonnables. Mais hier soir j'ai finalement osé acheter deux robes de soirée à la fois! Ce weekend j'aurai une soirée pour l'anniversaire d'une amie. Et bien sûr, je dois aussi acheter un beau cadeau pour elle. Je dois beaucoup travailler!

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  • Hier, le typhon qui a débarqué au Japon pour la dix-huitième fois cette année a attaqué la maison de mes parents. J'ai entendu dire que trois vitres sont brisées et de nombreuses feuilles du jardin sont tombées dans la maison. En plus, il y a eu aussi une coupture de courant.

    Le soir, j'ai relu le livre de Kazuo Ishiguro, un écrivain anglais; "THE REMAINS OF THE DAY". ça m'a amusé. ça m'a rappelé Buster Keaton. L'humour, c'est venu de l'acte le plus sérieux de la personne la plus sérieuse. C'est l'histoire d'un intendant traditionnel en Angleterre. C'est l'histoire d'amour de l'homme qui ne sait pas exprimer son amour.

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  • Aujourd'hui, ce n'est pas mon jour de chance. Tout d'abord, ce matin, j'ai tombé avec mon vélo sous la pluie. Et puis, ce soir, XXXX. En plus, cette nuit, quand j'ai marché dans la rue et quelqu'un m'a parlé, j'ai laissé échaper un mot: "Tais-toi!" ...comme j'étais en Tunisie. Et il, celui qui m'a parlé, était un chef de 'yakuza'.

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  • Avant-hier, c'était mon anniversaire. Un ami m'a offert un amplificateur. Ce n'est pas neuf, celui d'occasion, mais je suis contente. Parce que mon amplificateur que j'utilisais jusqu'à avant-hier, ça ne marchait pas.
    J'écoute un disque d'Egberto Gismonti avec le nouveau amplificateur: O SONHO.

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  • Aujourd'hui j'ai vu un film de Hirokazu Korèèda, un réalisateur japonais: Personne ne sait (en japonais: 'dare mo shiranai'). C'est un film d'un fait divers: c'est une histoire de 4 frangins de notre temps qui habitaient à Tokyo d'eux-mêmes sans ses parents, sans presque aucune aide des adultes pendant quelques mois. Ils n'allaient pas à l'école, bien plus, ils semblaient ne pas posséder d'états civils. Ca nous donne un choc. Cependant ce n'est pas une histoire trop saugranue, c'est plutôt une histoire réelle et aussi quotidienne. Oui, c'est vrai, c'est très très rare un cas comme ça au Japon actuellement, mais c'est possible. En effet, il existait.
    Jusqu'à présent, je n'aimais pas de film d'Hirokazu Korééda beaucoup, c'est parce que son idée et les jeux des acteurs n'étaient pas très harmonieux. Ils étaient en désaccord. L'improvisation, c'est bonne idée pour l'expression réaliste, tous le monde sait ça, mais ce n'est pas facile à jouer pour des acteurs. Bien sûr, je ne veux pas attribue cette faute aux acteurs, c'est un travail du réalisateurs.
    Mais en ce qui concerne ce film, Personne ne sait, son idée et les jeux des acteurs vont très bien ensemble. C'est parfait. Je me rappelle un film d'Abolfazl Jalili qui est un des films que  j'adore: je marche (c'est le titre en japonais. Je ne sais pas le titre original).

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